Internet, laboratoire des nouvelles drogues



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Counterculture Shaped the Personal Computer Industry du journaliste américain John Markoff ne révèle pas la quantité de marchandise négociée par les étudiants, mais atteste que le réseau - bien avant la création d'Amazon et eBay - a été utilisé pour opérer en toute discrétion. 
Mike Power, journaliste pour The Guardian, sort le livre "Drugs 2.0, the web revolution that’s changing how the world gets high" au début du mois de mai et constate l’impuissance des autorités à endiguer le flot des nouvelles drogues achetées sur le web puis gobées ou snifées par le consommateur. Power rappelle que l'achat en ligne de drogues est aussi vieux qu'internet Et pour illustrer le propos, il précise qu'en 1971 et 1972, aux USA - toujours dans le bourbier de la guerre du Vietnam, des étudiants du laboratoire d'Intelligence Artificielle de l'Université de Stanford utilisaient Arpanet pour discuter avec des condisciples du Massachusetts Institute of Technology d'une livraison d'herbe. L'anecdote tirée du livre How the Sixties De nos jours, l'achat de drogues sur internet est une réalité amèrement constatée par les autorités de nombreux pays. Le site Silk Road, accessible sous Tor et où on ne peut payer qu'avec des bitcoins, est souvent cité pour illustrer le phénomène.
 Une lenteur qui joue en la faveur du dealer, trop heureux d'importer et vendre cette marchandise ensuite pulvérisée sur des herbes - par exemple. Mike Power parle notamment de l'Herbal Ecstasy.
 En 2013, il est possible de demander à un laboratoire en Chine de produire une drogue sans courir un gros risque car la loi est toujours à la traine.
 source: Yahoo.fr

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