Elle n'avait alors que 19 ans...
En pleine promotion de son nouvel album, Instinct, Amel Bent est revenue, sur le plateau de France 4, sur ses propos qui avaient créé la polémique en 2008.
Exploités, décontextualisés, découpés, les propos d’un artiste peuvent parfois subir bien des modifications avant d’arriver à nos oreilles. C’est le sort qu’Amel Bent regrette amèrement d’avoir subi. Dans l’émission «C’est quoi ce boucan?» diffusée sur France 4 (et présentée aujourd’hui en avant-première sur le site de Jean-Marc Morandini) la chanteuse rétabli sa vérité.
En 2008, un extrait de l’interview qui lui est consacré dans le «Hit Machine» provoque le malaise. Amel Bent, qui avoue s’être exprimée «très maladroitement à l’époque», tient donc à clarifier sa position au sujet de son amour de la France. L’interprète de Viser la lune veut différencier «amour du pays» et de ses symboles. Drapeau ou pas, la Française, née de parents marocains et algériens, tient à défendre d’autres valeurs que celles strictement attachées à la nation. Par exemple : «avoir une conscience citoyenne, aider son prochain, payer ses impôts sans partir ailleurs». Autant de preuves d’amour envers son pays qu’Amel Bent tient à défendre et à respecter.
En 2008 en effet, alors qu'elle n'avait que 19 ans, la jeune artiste avait tenté de donner une explication à la crise identitaire qui grondait dans les banlieues.
Erreur ou maladresse, Amel Bent a depuis revu sa copie et s’exprime avec plus de calme et pèse ses arguments.
Maladroitement elle déclarait ne pas pourvoir «brandir un drapeau bleu blanc rouge» mais trouvait «plus facile de lever le drapeau de l’Algérie».
source: yahoo.fr
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